Chênes du Léard
Aux confints de Faye-d’Anjou au niveau du hameau du Léard, on observe un chêne à la tête assez volumineuse.
Un chêne têtard sans aucun doute qui n’a pas été réexploité depuis déjà fort longtemps comme souvent de nos jours.
Il en résulte un aspect trappu et bien charpenté assez caractéristique de nos campagnes angevines [1].
Chêne de Montbenault 2
Un arbre relativement jeune avec 120 à 160 ans si l’on en croit sa circonférence à 1m30 de 3m20 et le fait qu’il n’a visiblement jamais été taillé.
Il a ainsi eu tout loisir de se développer dans ce replas humide juste derrière le château de Montbenault.
Chêne du vallon de l’étang 1
Le très beau chêne que voilà ! Le patriarche de son coin de commune.
On l’aperçoit très bien depuis la petite route qui mène vers Bonnezeaux car son tronc est épais et son houppier bien large.
Chêne du chemin de la Roche 1
Mise à jour du 08/06/2010 :
Aujourd’hui, je retire ce que j’ai dis dans ma dernière phrase de cet article.
La tronçonneuse est passée par là.
Visiblement, cet alignement d’arbre faisait de l’ombre au pré attenant.
Chêne des bas champs 1
Non loin du hameau du Léard à la limite Est de la commune, on trouve un petit chemin bordé d’arbres menant vers des prés appelés les Bas Champs.
Plusieurs chênes sont à prendre en compte selon moi et le plus notable d’entre eux se situe dès l’amorce de la haie.
Cépée de chêne Montbenault
Direction Montbenault, de l’autre côté de la commune pour un chêne bien particulier.
On appelle cela une cépée à quatre troncs : quatre tiges j’aillissent d’une même souche.
Pour arriver à ce résultat, l’arbre a été coupé dans sa jeunesse et de nombreux rejets on repoussé de la base.
Chêne de Barbechat
Ce chêne élancé balise un sacré carrefour en forme de patte d’oie pratiquement en limite de commune.
On ne peut pas le manquer, cependant une taille sévère l’a amputé de son houppier qui devait être très élégant.
L’arbre, qui est encore fringuant a bien réagi et il a produit de nombreux rejets autour de chaque branche sectionnée.