Chêne du chemin de la Roche 2
Juste derrière le houx que je viens de présenter [1], au milieu d’un terrain à l’abandon, on découvre un ancien chêne têtard qui fut exploité il y a une cinquantaine d’année.
Il possède un enracinement assez impressionnant sur un talus à partir duquel on mesure 3m tout rond de circonférence à 1m30 en amont.
Il est vraisemblablement centenaire, soit un peu plus jeune que son voisin qui vient de subir un élagage [2].
Chêne de Bas Virfollet
Un chêne en forme de pochette surprise…. Je m’explique :
J’ai aperçu son gros tronc depuis une petite route non loin de l’entrée d’autoroute de Beaulieu-sur-Layon.
Je suis donc allé lui rendre visite spécialement par une belle matinée de cette fin d’hiver.
Et quelle ne fut ma surprise lorsque j’ai observé que j’avais affaire à un mini écosystème au complet !
Chêne et lierres de Bas-Mont
Les gros chênes de plus de 4m de circonférence se terrent aux quatre coins de Faye d’Anjou [1] [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8] (liste non exhaustive).
Je n’ose imaginer le nombre que l’on peut trouver sur le département si la densité est la même partout!
Mais je pense plutôt que c’est la commune qui est bien garnie.
Chênes du Léard
Aux confints de Faye-d’Anjou au niveau du hameau du Léard, on observe un chêne à la tête assez volumineuse.
Un chêne têtard sans aucun doute qui n’a pas été réexploité depuis déjà fort longtemps comme souvent de nos jours.
Il en résulte un aspect trappu et bien charpenté assez caractéristique de nos campagnes angevines [1].
Chêne de Montbenault 2
Un arbre relativement jeune avec 120 à 160 ans si l’on en croit sa circonférence à 1m30 de 3m20 et le fait qu’il n’a visiblement jamais été taillé.
Il a ainsi eu tout loisir de se développer dans ce replas humide juste derrière le château de Montbenault.
Chêne du vallon de l’étang 1
Le très beau chêne que voilà ! Le patriarche de son coin de commune.
On l’aperçoit très bien depuis la petite route qui mène vers Bonnezeaux car son tronc est épais et son houppier bien large.